Je me lance !

Je t'aide à changer de job en toute sécurité

Quelques soient tes blocages !

Ton travail te pèse mais tu ne souhaites pas en changer car après tout … “il y a pire”, “je supporte ma vie”. 

La peur de ne plus avoir de salaire, ou encore, le fait de ne pas savoir vers quoi t'orienter te font peur. Je le comprends, je suis passée par là moi aussi…

Mais imagine-toi dans 5 ans…

Si rien ne change, tu seras toujours au même endroit. 

Tu mèneras toujours la même vie. Sans sens. Sans reconnaissance…

Ta routine sera exactement la même.

Tu seras toujours dans ton malheur supportable. Dans ton confortable inconfort.

Comment te sens-tu avec cette idée ?

Prends le temps de réfléchir à cette question. Quelle image aurais-tu de toi-même si tu continuais comme cela ?

Quelle image laisserais-tu à tes enfants ?

Celle d’une personne qui ne vit pas ses rêves. Une personne qui ne se fait pas confiance. Une personne qui ne se respecte pas. Une personne qui subit sa vie et la société.

Que dirais-tu de toi-même sur ton lit de mort ?

Accepte-tu d’avoir eu une petite vie où vivre ses rêves ne fait pas partie de ta réalité.

Si c’est ok pour toi tant mieux !

Sinon qu’attends-tu ?

Bien sûr, changer de job est une décision lourde de conséquences. Des tas de questionnements légitimes vont survenir :

  • Est-ce que je vais enfin trouver ma voie ?
  • Est-ce que je vais pouvoir acquérir les compétences ou les diplômes nécessaires ?

  • Est-ce que je vais survivre financièrement le temps de ma transition ?

  • Est-ce que ça va vraiment me rendre heureux ?

Et tout ce questionnement est bien normal !

Une reconversion est une décision qui aura un impact sur ta vie. 

Cet impact sera très bénéfique avec une méthode et un accompagnement efficaces.

Mais il peut aussi devenir désastreux si tu fais n’importe comment ou en te basant sur un simple bilan de compétences sans un plan et une stratégie derrière !

C’est là que Lance ta Vie entre en jeu.

Je t'aide à mettre en place une stratégie efficace pour changer de job sans prise de risque.

Beaucoup de personnes se lancent dans leur reconversion tête baissée en espérant que tout se passe bien.

Mais c’est malheureusement rarement le cas comme on peut s’en rendre compte en lisant les récits de reconversion de ces personnes.

Ce taux d’échec vient accentuer la peur que ressentent ceux qui aimeraient changer de job. Malheureusement ces mêmes personnes préfèrent, au lieu de ça, se trouver des excuses “pratiques” :

  • Je ne suis pas si mal que ça dans mon métier
  • J’ai des enfants
  • J’ai une famille à nourrir
  • Je n’ai pas le bon diplôme
  • Il est trop tard
  • Je ne peux pas me permettre de vivre avec un seul salaire
  • J’ai un crédit à rembourser

Tu te reconnaîtras sûrement dans ces excuses. Et c’est tout à fait normal, il n’y a pas à culpabiliser, nous sommes tous pareil. J’avais moi aussi certaines de ces excuses…

Lorsque nous avons peur d'agir, notre cerveau préfère nous trouver des excuses pour nous faire arrêter de culpabiliser et nous faire accepter notre sort.

Cela ne veut pas dire que ces excuses sont fausses.

Cela signifie simplement que ce ne sont pas elles qui t'empêchent réellement d’agir, mais ta peur.

Et si cela ne suffit pas à t'en convaincre, prends quelques minutes pour réfléchir et trouver des personnes qui avaient les mêmes excuses que toi, mais qui ont quand même agi.

On a toujours envie de croire que l’on est dans une situation unique que personne d’autre n’a et ne peut comprendre. C’est normal, c’est rassurant et justifie le fait de ne pas agir.

Mais quelque part dans le monde, ou même en France, quelqu’un, ayant les mêmes excuses que toi est déjà passé à l’action.

Et même s’il n’y avait vraiment personne au monde dans ta situation ayant déjà agi, ne voudrais-tu pas être la première à prouver que c’est quand même possible et à le faire ?

La peur est une réaction instinctive à l’inconnu.

Notre cerveau cherche à nous en protéger car c’est inconfortable et potentiellement dangereux.

Mais ce qui est merveilleux avec ça, c’est que dès que l’inconnu disparaît, la peur s’en va avec !

Avec Lance ta Vie, j’ai mis au point des méthodes et des stratégies pour que l’inconnu disparaisse complètement !

Cela veut dire qu’il n’y a plus de peur, ni de risque dans la reconversion professionnelle. Et ce, même si tu avais des tonnes d’excuses !

Avec mes méthodes tu sauras exactement quel métier aura du sens pour toi, et nous serons en mesure de mettre en place une stratégie efficace pour aller vers ton objectif tout en continuant à nourrir ta famille et à rembourser tes crédits !

N’oublie pas : “La peur est une réaction, le courage une décision”.

Je crois fermement en l’action. Car seule l’action permet d’accomplir ses rêves.

C’est pourquoi mon entreprise s’appelle “Lance ta Vie”. “Lance” est un verbe d’action.

Et je t'aide à Lancer ta vie !

Mon histoire

Marie-Anne

Je rêve d'un monde dans lequel chaque personne remplit ses objectifs et vit ses rêves. Et je crois au passage à l’action pour y parvenir !

Version en 15 points

  1. 1
    Un frère handicapé
  2. 2
    Une vocation à aider les autres
  3. 3
    Je suis infirmière
  4. 4
    Pas d'emploi, alors je bouge sur Paris
  5. 5
    J'exerce en santé au travail
  6. 6
    Je stagne, je suis un pion, je suis en pilote automatique, bref je ne suis plus heureuse
  7. 7
    Mais je suis la sécurité dans mon couple, donc pas question de me reconvertir
  8. 8
    Avec le confinement j'ai beaucoup lu et je me suis beaucoup formée
  9. 9
    Alors j'ai eu le déclic !
  10. 10
    Je suis seule responsable de ma vie
  11. 11
    Je me suis formée au coaching
  12. 12
    J'ai quitté mon boulot
  13. 13
    J'ai quitté mon logement et Paris
  14. 14
    J'ai démarré un tour du monde
  15. 15
    En faisant un métier que j'aime !

Version longue

J’ai arrêté de rêver ma propre vie quand je suis moi-même passée à l’action pour vivre mes propres rêves…

Je vais t'expliquer comment j'ai démarré ma vie active. Et comment j'ai trouvé le courage de me prendre en main pour sortir de cette prison et me lancer dans une reconversion professionnelle. 

Au début, j’ai suivi un chemin que la société avait tracé pour moi. Je t'avoue que cela a toujours été une croyance pour moi de me dire que la vie idéale se résume à trouver un métier, me marier, acheter une maison, avoir des enfants et vivre heureuse jusqu’à la fin des temps… Mais sur la route, je me suis rendue compte que la vie ne peut pas se résumer à ce que font la majorité des gens.

Je vais te décrire comment j’ai trouvé le courage de me lancer vers le métier de mes rêves. Il est évident que j’ai fait mon petit bonhomme de chemin Le métier qui m’a permis de trouver du sens, du plaisir, de la liberté et de la stimulation. Le métier qui est en accord avec mes valeurs et qui m’épanouit. 

Évidemment, sur le chemin, j’ai rencontré plusieurs obstacles et peurs : comment m’en sortir sans rupture conventionnelle ? vers quoi m’orienter alors que je n’avais qu’un diplôme d’infirmière, métier que je ne voulais plus exercer ? la peur de perdre mon salaire, la peur de me trouver en difficulté financière, la peur du changement, la peur de l’inconnu, la peur de faire une erreur, la peur d’échouer... 

Mais d’abord, laisse-moi te remettre en contexte.

Je m’appelle Marie-Anne. Née d’une famille de fonctionnaires à Roubaix dans le Nord. Je suis la petite dernière d’une famille de 3 enfants. Nous menions une vie remplie d’amour avec des fins de mois difficiles où il fallait toujours compter les moindres dépenses. Oh rassure-toi, j’étais très heureuse et épanouie. Je ne compte pas me plaindre du manque d’argent, ni m’en servir comme excuse ;)

Un jour, notre vie a été bouleversée par les études et les rencontres de mon frère cadet. Il n’était pas épanoui dans le choix de ses études. Malheureusement l’école et ses camarades de classe l’ont mené à la dépression vers 18 ans. C’est à cet âge qu’il a commencé à faire des tentatives de suicide avec des séjours à l’hôpital alors que je n’étais encore qu’au collège. Il est très difficile de voir quelqu’un que l’on aime se détruire à cause d’une mauvaise orientation. Comme quoi le choix des études ou d’un job peut avoir des impacts sur ta santé. Encore aujourd’hui, soit 20 ans plus tard, cet événement a eu un impact sur sa santé, sa vie et surtout sa confiance en lui.

A cause ou grâce à cet événement difficile, j’ai pris conscience de ce que je voulais faire de ma vie. J’ai développé un désir ardent de vouloir aider les gens. 

Ma volonté a toujours été de transmettre ce que je sais faire pour que les personnes autour de moi se sentent bien. Ça veut dire que j’ai passé l’ensemble de ma vie adulte obsédée par un sujet : Accompagner les personnes qui ont besoin de mon aide.

Pour mon choix d’étude, je me suis posée la question suivante : Quel métier pourrais-je faire pour venir en aide aux gens ?

Spontanément, je me suis dirigée vers le médical. Et plus spécifiquement vers le paramédical avec le métier d’infirmière. Ce métier de rêve me permet de dispenser des soins afin de promouvoir, maintenir ou restaurer la santé des patients tout en étant proche d’eux. En plus de la technicité dans les soins, ce métier exige des qualités d’empathie, d’écoute et de patience. Ce qui me correspond totalement.

Un métier où il y a énormément de besoins. Mais à l'issue de mon diplôme en 2013, j’ai été confrontée à la réalité du terrain. J’ai passé de nombreux entretiens dans le Nord mais sans succès. J’ai eu des CDD pendant l’été. Mais je cherchais un contrat plus long. J’ai postulé dans de nombreux services en quête du saint Graal : le CDI

Je me rappelle que lors d’un entretien, le recruteur m’a annoncé qu’il avait déjà trouvé quelqu’un pour le poste mais que l’entretien était pour la forme car il était obligé de voir plusieurs candidats pour un poste… Comment te dire à quel point j’étais au plus bas. Mon souhait d’avoir un impact sur la vie des gens ne commençait pas comme je l’imaginais. J’ai commencé à faire de l’intérim. Mais j’avais en majorité des missions d’une journée par semaine. Ce n’était pas assez d’un point de vue financier mais pas assez non plus du point de vue de mon épanouissement personnel car je n’avais pas de suivi. 

Je me souviens d’une mission où je découvre un service de gériatrie. J’étais là pour 1 jour. Au bout d’une heure, l’aide soignante avec qui je travaillais me dit “je rentre chez moi, je ne me sens pas bien”. Je lui ai dit de prendre soin d’elle mais au fond, je me disais “ahhh comment je vais faire. Elle me laisse seule avec un service que je viens à peine de découvrir”. Je commence ma tournée seule, sans aide. Bien sûr, le PC s'éteint lors de la distribution de médicaments car il n’avait pas été chargé…  Et évidemment les ordonnances étaient toutes informatisées... Gros moment de solitude. Je ne me démonte pas, je reste forte. Et à la fin de journée, je rentre chez moi pour m'effondrer. Je fais un récapitulatif de ma journée en me faisant peur. Je doute de moi. Et j’imagine le scénario catastrophe où on m’appelle pour me retirer mon diplôme car j’aurais tué quelqu’un… Au final, je m’inventais moi-même ces scénarios morbides. Je ne risquais pas de me sentir bien avec ces histoires déprimantes.

Après une bonne nuit de sommeil, je reprends les choses en main. Je me rends compte que je suis responsable de ce que je me dis. Je suis 100% responsable des idées que je me mets dans la tête.

Certes, je n’ai pas encore trouvé de longue mission ou un CDI. Mais j’avais mon diplôme. Évidemment, mon futur employeur ne va pas venir me chercher. Je ne crois pas vivre dans le même monde que la belle au bois dormant qui attend endormie son prince charmant. C’est à moi d’aller enfoncer les portes.

J’ai passé une journée à appeler de nombreux hôpitaux, cliniques, maisons de retraite et services de santé au travail. Jusqu’au moment où un appel a bouleversé ma vie. 

Je trouve un numéro de service de santé au travail à Lille. J’appelle. Cette fois-ci, j’échange avec la responsable du service. Au bout d’un moment, celle-ci me demande si je suis “mobile”. Ce à quoi je lui réponds “oui, je fais de l’intérim”. Là, elle se met à rire et me dit “J’ai un poste à vous proposer mais sur Paris”.

N’ayant pas de boulot dans le Nord, je réfléchis et je me dis pourquoi pas ! Je passe un entretien et je suis prise pour un CDD de 6 mois à Paris

Je décide de prendre ce poste en faisant le choix de faire les trajets tous les jours en train. Je pars le matin à 5h30 pour arriver au travail à 8h et je termine à 16h45 rentrant chez moi à 19h15. 

J’étais très heureuse d’avoir un poste malgré les trajets car au moins j’avais tous mes week-ends ! Et en tant qu’infirmière ce n’est pas si courant 🙂

Partir chaque matin de ma petite province me faisait sortir de ma zone de confort. Direction Paris pour le travail. Quel changement ! Le monde, la diversité, la rapidité. J’étais heureuse.

Mon CDD a été renouvelé et roulement de tambour…  quelques mois plus tard je signe enfin mon premier CDI ! Je suis hyper contente. Je signe mon contrat qui me fait entrer dans la vie active et en plus dans la fonction publique. Quelle fierté pour ma famille de fonctionnaires 🙂

Avec mon conjoint, nous décidons de nous installer ensemble en région parisienne. Nous quittons tous les 2 notre famille et notre région d’origine pour aller vers la capitale. Mon conjoint quitte également son activité pour me suivre.

Je suis devenue infirmière en santé au travail. Je suis tellement contente ! Dès que j’ai eu cette confiance en moi, mes efforts ont payé. J’ai pu trouver mon métier pour enfin impacter la vie des salariés que j’allais rencontrer.

La santé au travail a été une découverte pour moi en 2014. C’est là que j’ai pu mener de nombreux entretiens infirmiers. Cette technique me permet de connaître la personne que j’ai en face de moi afin de répondre à ses interrogations et mieux l’accompagner dans son environnement de travail et sa santé. C'est un moment privilégié d'échange. J’ai découvert qu’en plus des soins, la parole est redoutable dans un accompagnement et peut changer la vie des personnes qu’on rencontre.

Dans mon travail, je réalise des examens auprès de différents salariés et ils m’expliquent leurs conditions de travail et parfois leur mal être au travail. En tant qu’infirmière, j’ai appris de nombreuses techniques comme l’entretien d’accueil, l’entretien d’aide et de soutien psychologique, l’entretien à visée thérapeutique et l’entretien motivationnel. 

Puis, les années ont passé et je commençais à travailler en mode automatique. J’avais l’impression de stagner, de m’ennuyer. Je n’avais plus de perspective d’évolution. Il me manquait quelque chose. Je n’avais plus la flamme des débuts. C’est à ce moment que j’ai commencé à me sentir frustrée dans mon travail. Sur mon poste, il y a des protocoles que je dois respecter. Ils ont un côté rassurant mais laissent peu de place au libre arbitre. Je ne peux pas faire exactement comme je l’entends, il y a des procédures. En général, quand les personnes ont un problème : elles vident leur sac avec moi. Mais avec le protocole, il fallait rediriger les salariés vers LE médecin du travail. 

Je me sentais frustrée car j’avais la perception de ne pas aider les salariés comme je le souhaitais.

Je n’étais plus en phase avec le mode de fonctionnement. Les personnes venaient vers moi exprimer leur douleur. Mais mon poste me permettait seulement de les écouter et de les rediriger vers les personnes compétentes. 

  • J’avais la sensation de stagner.
  • J’avais le sentiment de ne pas être assez compétente.
  • J’avais la sensation de ne pas être assez.
  • Je me sentais bloquée.
  • Je n’étais plus épanouie dans mon travail quotidien.
  • J’avais dû mal à me lever les matins car je ne me sentais pas utile.
  • Je voulais faire autre chose mais quoi ?
  • Je voulais partir mais comment ?

Émotionnellement, je savais que je n’avais plus ma place dans le poste auquel j’étais

Intellectuellement, il est difficile de se dire : “je dois agir et faire autre chose”. 

J’avais mon conjoint qui en tant qu’indépendant avait des revenus en dents de scie. Moi j'avais un revenu fixe. J’étais LA sécurité dans notre couple…

Dans un premier temps, j’ai accepté de rester dans mon travail. Je me disais “je ne suis pas si mal. Quand je rentre chez moi je suis bien.”... Mais en fait, je me mentais à moi-même. Je n’aimais pas vivre à Paris. Je me disais “tant que j’habite Paris, je ne souhaite pas avoir d’enfant”. Je vivais dans un T2 que je détestais. Mais j’ai préféré fermer les yeux et rester dans mon confortable inconfort car je le connaissais et j’arrivais à vivre avec.

Puis, les années passent et rien ne change. J’étais totalement perdue. Que dois-je faire ? Subir cette vie ? Ou agir ? Mais que faire comme métier ?

J’ai un diplôme d’infirmière, je ne peux rien faire d’autre”.

J’ai galéré longtemps pour arriver là où je suis, je ne vais quand même pas tout gâcher !

Entre 2018 et 2021, j’ai décidé de garder mon emploi et de remplir mon temps libre par de nouvelles activités. J’ai suivi des formations sur le marketing, sur les finances, sur l’immobilier et d’autres sur le développement personnel. 

Pendant cette période, une crise sanitaire est arrivée dans nos vies. Le confinement m’a permis de lire beaucoup de livres sur le développement personnel. J’y ai trouvé un coup de cœur. J’ai ensuite commencé à participer à des séminaires.  Un jour, j’ai pu voir un intervenant faire du coaching. J’étais comme hypnotisée et impressionnée. Je me souviens qu’il avait coaché en direct pendant son séminaire, et sans que ce soit prévu, un fumeur mais aussi une personne dépressive. Je l’ai trouvé tellement percutant que je voulais vivement intégrer ses techniques à ma pratique !

J’ai investi en moi, pour enfin prendre ma vie en main. J’avais attendu des années pour que mon employeur me forme. Finalement, j’en ai eu marre d’attendre que les choses viennent des autres. Je n’arrivais plus à me satisfaire d’une vie toute tracée ! Un métier de fonctionnaire avec très très très peu d’évolution. Je n’avais plus envie d’attendre. Attendre que les jours passent. Attendre le week-end. Attendre les vacances. Attendre la retraite. Je n’avais pas envie que les jours se suivent et se ressemblent. Je n’avais pas envie de me dire sur mon lit de mort : “J’ai eu une petite vie, c’était bien”. Non !!!! Je veux me dire : “j’ai eu une vie extraordinaire, et j’en ai profité à fond comme je le souhaitais. C’était trop génial ! Je suis fière de mon parcours et de l’impact que j’ai eu sur les gens et le monde”.

Ainsi, j’ai décidé de m’inscrire à une formation de coach. J’ai choisi comme mentor un coach de renommée internationale, expert en stratégies du leadership et de réussite. La même personne que j’avais vu coacher lors du séminaire.

C’était extraordinaire ! J’ai pu y apprendre de nouvelles techniques d’entretien hyper percutantes. Pendant les 6 mois de formations, j'ai appris à vraiment coacher ! Pas juste écouter. Pas tenter en vain de changer les gens. Mais vraiment avoir un impact sur leur vie, rayer leur disque et faire en sorte qu’ils se changent eux-mêmes pour devenir qui ils veulent être. J’ai mis en application différentes techniques de coaching qui montrent des résultats concluants sur les personnes que j’ai pu coacher. J’étais moi-même bluffée par les résultats du coaching !

Je me sentais pousser des ailes. J’ai alors décidé de prendre mon envol.

C’est là que j’ai eu l’étincelle !  

J’avais trouvé ce qui me faisait vibrer. 

Que devais-je faire ?

J’ai décidé de sauter le pas et de me reconvertir !

Cela a pris du temps car j’ai voulu me poser les bonnes questions. Évaluer les contraintes, les conséquences afin de réussir ma reconversion professionnelle.

J’ai fait cela seule. Il y a eu beaucoup de peurs, pour 2 pas en avant, il y en avait parfois 3 en arrière.

Le coaching me faisait vibrer et lors de ma reconversion je me suis remémorée les nombreuses personnes rencontrées en burn out ou encore en dépression à cause de leur travail. J’ai vu leur détresse, leur incapacité de revenir dans un travail qui les détruit tout comme mon frère pendant ses études mais pour autant ils n’en changent pas. Combien de temps doivent-ils attendre pour que le travail ou les collègues changent ? Pourquoi le choix de ne pas agir dans une situation inconfortable est-il souvent privilégié ? 

Parfois la reconversion est une évidence mais par où faut-il commencer ?

Les 2 difficultés majeures que se posent les personnes avant de se reconvertir sont : 

  • Que faire d'autre ?
  • Comment s’en sortir financièrement ?

Mais la première question devrait être : “Quelles sont tes priorités dans la vie ?

Je me suis formée spécifiquement dans ce domaine de la reconversion professionnelle. J’ai la chance de vivre en France et il existe de nombreuses aides pour reprendre des études, pour financer une période de transition ou encore pour créer son entreprise. Encore faut-il les connaître ? 

Un jour, j’ai franchi le pas, ma décision était prise. J’ai revu mes priorités dans ma vie. J’ai demandé à mon entreprise, une rupture conventionnelle, mais elle a été refusée. Je n’allais pas en rester là ! Il fallait que je trouve un autre moyen pour quitter mon job en toute sécurité d’un point de vue financier.

Pourquoi ?

Parce que j’avais trouvé ma nouvelle raison d’être :

  • J’ai compris que je n’avais qu’une vie et qu’il fallait que je la prenne en main plutôt que de la gâcher dans un métier qui ne me correspond plus
  • Je suis passée à l’action, je me suis formée et je suis heureuse
  • Ma raison d’être c’est d’aider toutes les personnes qui sont « bloquées » dans leur métier alimentaire
  • Une méthode pour aider à la reconversion professionnelle qui condense tout ce que j’ai appris de mes formations et de mes expériences 
  • Tout le monde mérite d’être heureux dans son travail, car il représente 1/3 de notre vie voire la moitié de notre vie car quand on dort on ne fait rien d’autre ! 

Chaque événement était un obstacle mais j’avais mon étoile du Nord pour me guider. J’ai donc démissionné en toute sécurité grâce à mon projet de création d’entreprise. Cela me permettait d’avoir une partie de mon chômage pour la création de ma boîte. Néanmoins, la peur était là. Mon avenir, mes revenus n’allaient plus être aussi évidents qu’en tant que fonctionnaire. Mais j’ai mis en place une stratégie. Le chemin sera beaucoup plus excitant puisque je suis en accord avec moi-même.

Moi, la personne simple, discrète et sans problème prends une décision de folie !!!

J’ai quitté mon job, quitté mon logement, quitté tout ce qui était matériel. J’ai toujours aimé voyager. Toutes mes affaires se résument à un bagage, un sac et un passeport. Je suis devenue nomade digital et je suis indépendante financièrement grâce au coaching.

WHAT ! Mais que s’est-il passé ?

J’avais besoin d’être libre.

J’avais besoin d’être enfin moi-même.

J’ai l’impression de me libérer de mes chaînes que j’avais moi-même construites.

Cela me fait à la fois peur et vibrer.

Tout quitter” pour vivre de mes passions. 

Cela a été très dur mais nécessaire pour vivre la vie dont je rêve. Une vie extraordinaire !

J’ai la chance d’être accompagnée de mon conjoint dans cette folle histoire qui n’est pas standard.

Je mène ma vie. J’agis pour réaliser mes rêves et ceux des personnes que j’aide.

Progresser. Se former. Lire. Voyager. Profiter de la vie sans limite.

Je construis ma vie.

Je souhaite t’aider à construire la tienne !

Prends ta vie en mains maintenant et

Rejoins les personnes qui lancent leur vie ! 

Maintenant à ton tour de lancer ta vie ! Passe enfin à l’action !

Voici je me suis livrée à toi ! Si toi aussi tu as une histoire à partager, tu peux m’envoyer un mail ... ou laisser un commentaire ci-dessous...

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